malnutrition

Comment lutter contre la malnutrition

Dans le monde, l’écart entre les pays riches et les pays pauvres ne cesse de se creuser. Cela est observé sur tous les plans, politique, sociale, économique, et environnementale. Dans les pays sous-développés, les principes sur lesquels se reposent la gestion des ressources matérielles et humaines ne sont pas équilibrés engendrant ainsi une production incompatible aux besoins. En effet, la majorité de la population vit dans la précarité et ne touche qu’une infime revenu ne recouvrant même pas ses nécessités au quotidien. C’est pourquoi, des associations et des organisations non gouvernementales diverses offrent leur aide afin d’alléger tout au moins cette situation.

Pourquoi les pays moins développés sont si retardés ? 

Suivant la logique, quand un pays recule de plus en plus chaque jour, c’est le système appliqué par les dirigeants qui ne fonctionne pas comme il se doit. Ainsi plus des deux tiers des citoyens vit en dessous du seuil de la pauvreté. C’est surtout la crise politique qui est la source de toutes ces vulnérabilités car la productivité des entreprises locaux diminue et n’arrive plus à concurrencer les produits importés contre façons qui envahissent tous les marchés. De ce fait, le travail manque et la famille ne se nourrit plus convenablement. A cela s’ajoute l’effet de la catastrophe naturelle comme les inondations, les cyclones, les saisons de sécheresse qui sont causées par le changement climatique. Dans ces pays, plus de la moitié de la population sont des agriculteurs, et toutes ces perturbations dégradent voire même abolissent leur récolte. Le manque d’argent et de nourritures entraîne ainsi la malnutrition chronique qui affecte surtout les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées. L’insécurité alimentaire et sociale entraînant ainsi un stress à long terme, diminuant la faculté psychologique et intellectuelle des populations jeunes, d’où le taux de la scolarisation est très en baisse. Face à ce problème, des sociétés comme Celside font des dons à des organismes non gouvernementaux pour contribuer à amoindrir cette souffrance. 

Qui sont les acteurs pour la lutte contre la pauvreté ?

Ce n’est pas du jour au lendemain qu’on peut éradiquer la famine dans les pays moins avancés. C’est pourquoi, différentes entités participent dans toute la mise en œuvre. Les moyens techniques, financiers, matériels et humains viennent de plusieurs pays partenaires. Les associations travaillent avec les médecins locaux ou étrangers et les personnels de la santé pour détecter et évaluer le taux de la malnutrition. Ce sont eux qui proposent les régimes alimentaires à appliquer et les autres traitements appropriés. Comme la majorité de la population s’investit dans l’agriculture et l’élevage, des ingénieurs agronomes et des vétérinaires donnent aussi leur coup de main pour améliorer la qualité de la production avec les méthodes modernisées. En termes de financement, les organismes reçoivent des subventions de la part des entreprises comme Celside afin d’acheter tous les équipements nécessaires.

Les stratégies pour la lutte contre la précarité

Pour survivre, il faut manger, donc la mission principale de ces organismes consiste à offrir le service de santé essentiel et la nutrition appropriée. A part les soins classiques, des entretiens psychologiques sont aussi proposés. La sensibilisation de la population commence dans chaque quartier défavorisé avec les équipes mobiles pour détecter et évaluer le taux de la malnutrition. Pour assurer la sécurité alimentaire, les habitants reçoivent des formations sur la diversification des repas au quotidien, sur les méthodes de culture et d’élevage. Comme la santé rime avec la propreté, les dons venant des sociétés comme Celside sont utilisés pour faire l’adduction d’eau potable, l’aménagement de l’habitation, de l’assainissement. La gestion des catastrophes naturelles est aussi parmi les obligations primordiales pour accroître la productivité.